Un nom et une formule originale dans l’univers crypto et plus encore.
Une nouvelle entité est apparue dans l’univers crypto français, la Banque des Industries Manufacturières ou BIM. Voilà comment elle se présente :
« La BIM – Banque des industries Manufacturières, se veut être la première d’une nouvelle génération d’acteurs financiers. Notre mission est de permettre aux utilisateurs de notre jeton numérique utilitaire, le $BIM, d’avoir un réel impact sur la réindustrialisation et la transition écologique en :
- Permettant d’acheter avec le BIM des produits et services à impact à prix préférentiel et encourager la consommation de produits engagés
- Permettre à la $BIM d’investir en fonds propres dans les entreprises qui fabriquent ces produits.
- Redistribuer directement aux détenteurs de $BIM la valeur créée par les prises de participation dans des entreprises non cotées, dont les rendements sont nettement supérieurs à ce que proposent les produits d’investissement habituellement proposés aux particuliers.
En tant qu’organisation autonome décentralisée (DAO), la BIM vise à rendre aux utilisateurs la possession et la jouissance de leur argent, la liberté de leurs investissements, la possibilité d’effectuer simplement des achats, sans frais de gestion, sans centralisation et avec un niveau de sécurité au moins équivalent aux acteurs financiers traditionnels. »
Entre crypto et barter, la BIM ambitionne de développer :
- Une nouvelle crypto-monnaie gagée sur des actifs réels, offrant un rendement propre et étant cessible sur le marché secondaire.
- Mais ce $BIM veut également servir de monnaie réelle, avec un module de paiement pour l’achat de biens et services à tarifs préférentiels (BIM Pay, qui voudrait proposer à terme une carte de paiement), une plateforme d’achats et de sourcing interentreprises (BIM Direct) et une véritable market place (BIM Shop).
- Le $BIM, un futur WIR crypto français ? Pourquoi pas ? Car BIM propose en fait une solution alternative qui pourrait se révéler tout à fait pertinente en cas de forte dépréciation de l’€. Sous cette perspective, c’est à notre connaissance une première.
Source : le document de présentation.