Lancés en avril 2014, les titres-restaurants numériques faisaient partie des mesures phares du « choc de simplification » présenté par le gouvernement d’alors. Un choc ou plutôt un flop en l’occurrence car, deux ans après, moins de 5% des titres en circulation étaient dématérialisés et moins de 20% des plus de 210.000 commerçants affiliés s’étaient équipés pour les accepter.
Début 2025, soit près de onze ans plus tard, de 20% à 30% des titres-restaurants circulent toujours sous format papier, ce qui représente plusieurs centaines de millions de titres chaque année.