Au cours de la crise sanitaire, la banque digitale a augmenté le nombre de ses clients mais n’a pas élargi sa base de clientèle
C’est ce qui ressort d’une étude mondiale sur la banque numérique que publient N26 et Accenture.
C’est ce qui ressort d’une étude mondiale sur la banque numérique que publient N26 et Accenture.
C’est la question qu’on ne peut manquer de se poser en prenant connaissance du récent état des lieux que dressent le comparateur Panorama banque et l’institut Poll&Roll. Certes, le paiement sans contact s’est largement généralisé mais la tendance était déjà vive avant la crise. Quant au reste, on reste plutôt sur sa faim.
On manque encore de beaucoup de données et surtout de visions d’ensemble mais les impacts de l’épisode de confinement sur nos usages consommateurs commencent à être mieux perceptibles. Ils étaient souvent inattendus.
Quand un événement exceptionnel de l’ampleur de la crise pandémique que nous traversons survient, il est naturel de considérer que plus rien ne sera ensuite comme avant et que l’événement aura des répercussions sur pratiquement tous les aspects de nos vies. Concernant les services bancaires, la tentation ne peut qu’être forte, ainsi, de considérer que…
Dans un rapport sur la manière dont la pandémie accélère le passage aux services financiers digitaux que vient de publier le cabinet de consulting 11 FS, apparaît (p. 39) le surprenant graphique suivant :
C’est la principale nouvelle de la semaine : les premiers chiffres relatifs aux comportements financiers de base au cours du confinement commencent à être connus. Ils traduisent une forte inquiétude des agents économiques, dont il va falloir tenir compte pour anticiper la reprise.