Des conseils pertinents pour les banques face à la course aux dépôts qui va s’engager
Ils sont fournis par Peter Aceto, ancien dirigeant d’ING Direct en Amérique du Nord sur The Financial Brand.
Ils sont fournis par Peter Aceto, ancien dirigeant d’ING Direct en Amérique du Nord sur The Financial Brand.
Il n’est pas la peine sans doute de présenter le crédit social chinois, désormais assez bien connu – et que nous avons été parmi les premiers à présenter en France, à travers ce blog, alors qu’avec Sesame Credit, il n’était encore qu’une extension des critères d’octroi des crédits bancaires.
Ils sont publiés par Younited dans une récente étude portant sur le marché du BNPL en France et en Espagne.
Une enquête menée par Opinion Way pour la 3° édition d’une étude de Colombus Consulting sur les modèles et services de la banque de demain révèle deux signaux, faibles mais notables, en faveur des banques classiques.
En France, 7% seulement de 2,6 millions d’étudiants portent actuellement un emprunt bancaire. Ils étaient 11% il y a 15 ans. La moitié des étudiants emprunteurs sont en école de commerce ; 60% dans les grandes écoles. La faute aux banques ? Mais les prêts aidés, bénéficiant de la garantie de l’Etat, mis en place…
Une illustration de la montée en puissance de la banque des usages, qui colle aux modes de consommation, qui accompagne immédiatement les consommateurs.
Dans le contexte d’une fuite des dépôts frappant les banques moyennes aux Etats-Unis, Apple a collecté près d’1 milliard $ avec son nouveau compte d’épargne, dans les quatre jours suivants son lancement mi-avril dernier (source : Finextra). 240 000 comptes auraient été ouverts.
Et c’est une novation importante. Il y a dix ans, cette épargne était encore insignifiante. C’était d’ailleurs une singularité française. Pour notre part, nous l’avons vue significativement croitre depuis moins de cinq ans. Selon le 2° Baromètre des changements de vie de BPCE Assurances, elle est désormais consistante.